Thomas Farel est né dans un petit village de 90 habitants dans l’Aube, où il a vécu pendant 10 ans avant de partir s’installer en ville pour ses études (Troyes, Reims). L’appel de la nature devenant de plus en plus pressant , il s'en est retourné à la campagne en 2010 où il vit désormais entouré de ses deux chiennes dans un village d’une centaine d’habitants, entouré par la forêt, les champs et les animaux.
Titulaire d'une licence d’anglais, d'un master de recherche en littérature canadienne et d'un doctorat ( 2022 ) il a soutenu sa thèse sur les nouvelles de l’autrice canadienne Alice Munro, récipiendaire du Prix Nobel de littérature en 2013. En 2009, il passe le CAPES d’anglais et devient enseignant dans un collège rural. Agrégé en 2016, il obtient un poste en Classe Préparatoire Littéraire (CPGE), où il enseigne l’anglais pour les étudiants préparant l’École Normale Supérieure.
Il a toujours écrit (de la poésie, des nouvelles, des essais, de courts romans) mais n'avait jamais osé franchir le pas. À l’âge de 16 ans, il a participé au Grand Concours des Jeunes Écrivains de France. Depuis 2018, il a publié plusieurs articles scientifiques dans des revues, magazines et recueils spécialisés, sur les sujets suivants : Alice Munro, la théâtralité, le féminisme.
En 2023 , il se lance dans l’écriture d’un recueil de nouvelles avec l’espoir d’être publié. Écrire lui procure beaucoup de sérénité, lui permet de prendre du recul, et, dans une certaine mesure, contribue à soigner les maux qui l’empêchent parfois d’avancer.