Nicolas Minair n’a pas choisi le picard par hasard. Pour lui, cette langue régionale est bien plus qu’un outil de communication : c’est un héritage vivant, un miroir de la culture des Hauts-de-France. Dès ses débuts dans l’enseignement, il s’est engagé à sauvegarder ce patrimoine linguistique, convaincu que l’école devait être un lieu où l’on transmet non seulement des savoirs universels, mais aussi des racines locales.
Nicolas Minair : un passeur de langue
Un héritage vivant, un miroir de la culture des Hauts-de-France.
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