Nicolas Debelvalet : portrait de famille littéraire

Cadet d’une fratrie de 3 garçons, Nicolas Debelvalet a grandi au milieu des livres de sa mère, tout comme ses frères. « J’ai bercé mes trois garçons avec des histoires tirées des contes et de la mythologie », nous confie Anne-Sophie Debelvalet. Professeure de lettres classiques au collège de Berck-sur-Mer, cette maman leur a transmis son goût pour les livres. Elle décrit Nicolas comme un garçon qui « a montré un goût particulier pour l’écriture dès qu’il a commencé à griffonner ».

Nicolas : perfectionniste, rayonnant et rêveur

Nicolas possède de grandes qualités humaines en plus d’avoir hérité du côté perfectionniste de son père, Gérard Debelvalet qui transmet à ses enfants ce que son propre père lui a transmis autrefois : « Le travail paie toujours, il faut se donner les moyens de réussir ! »

Son entourage le décrit comme un garçon « rayonnant, bienveillant, d’une grande curiosité intellectuelle et soucieux des autres » mais « peut-être trop » selon Lukas, le frère aîné. Travailleur acharné, Nicolas « fait preuve d’une très grande sensibilité et d’une recherche constante sur le style ». Son jeu d’écriture s’est développé tout au long de sa scolarité et surtout depuis le collège.

Si on demande à Nicolas de se décrire, il confie qu’il est « toujours compliqué de se décrire soi-même ». Déterminé, il sait qui il veut être et comment il veut être décrit : « je pense que je suis un rêveur qui ne trouve son idéal que dans la création ».

Une réussite partagée

Auteur d’un roman, Croque-Z, Nicolas fait la fierté de sa famille.

Roman, le petit frère, aime « lui faire de la publicité » lors des salons. Appréciant aussi écrire de petites histoires, il aime jouer sur scène et fait partie du club de théâtre de son collège.

Lukas, le frère aîné, ressent de la fierté pour ce frère qui « a réalisé si jeune ce que beaucoup cherche encore à faire ». Écrivain d’Héroïc Fantasy lorsqu’il en a le temps malgré des études prenantes, il garde toujours un œil bienveillant sur les réussites de Nicolas.

Des projets ?

Jeune homme de talents, nous espérons qu’il nous ravira avec ses projets futurs. Son prix de la nouvelle policière a ouvert les vannes de l’écriture d’un polar. Un autre roman, qu’il garde secret, est également en cours d’écriture.

Souhaitons-lui la plus grande des réussites, ainsi qu’à ses frères.

La Maman

Je m’appelle Anne-Sophie Debelvalet, je suis professeure de lettres classiques au collège de Berck-sur-mer. L’étude des langues anciennes ainsi que la lecture remplissent une grande partie de mes moments de loisirs, tout comme les randonnées dans la nature. Ma profession me permet de partager ma passion.

Dès l’enfance, j’ai été baignée dans l’univers des livres, grâce à ma mère, elle-même passionnée de littérature. Devenue maman, j’ai bercé mes trois garçons avec des histoires tirées des contes et de la mythologie. Ils ont grandi parmi les livres.

Depuis qu’il a commencé à griffonner, Nicolas a montré un goût particulier pour l’écriture, goût partagé par ses deux frères. Il a toujours fait preuve d’une très grande sensibilité et d’une recherche constante sur le style ( choix des mots, jeu sur les sonorités ). Ses jeux d’écriture vont se développer tout au long de sa scolarité et plus particulièrement au collège, où il sera encouragé à écrire. Le club théâtre du collège l’a également conforté dans sa passion pour la langue française.

Depuis qu’il est tout petit, Nicolas rayonne : il est souriant, bienveillant, a toujours su susciter de la sympathie autour de lui ; soucieux des autres, il est plein d’empathie et de sollicitude. Curieux, il accumule toutes les options possibles, que ce soit au collège ou au lycée. Pour lui, apprendre est un plaisir. Brillant élève, autant scientifique que littéraire, il cherche toujours à parfaire son travail. Très perfectionniste, il travaille énormément. Il est aussi sportif, il aime l’athlétisme et le cyclisme. Il a toujours aimé transmettre et il souhaite d’ailleurs enseigner plus tard. 

Avec sa professeure de Lettres 

Dès l’école primaire, il créait lui-même des cours pour son petit-frère Roman. Nicolas est un jeune homme heureux, très épanoui et fait la fierté de son entourage.

Le Papa

Je m’appelle Gérard Debelvalet. Je suis le cadet d’une fratrie de huit enfants au sein d’une famille ouvrière. Technicien de formation, je suis aujourd’hui cadre chez un grand équipementier automobile. J’ai de nombreuses passions et suis un peu « touche à tout » : cinéma, jeux vidéos, lecture, VTT, speed sail, randonnées, pêche, jardinage en permaculture…

Je ne me définirais pas comme un passionné de littérature. J’aime varier les activités et les loisirs, mais j’apprécie un bon livre de temps en temps ( surtout les romans policiers et d’aventures ). Je pense avoir transmis à Nicolas son côté perfectionniste, son goût pour les échanges humains et sa curiosité.

C’est impressionnant, bien-sûr. Nous sommes fiers de lui. C’est une réussite pour nous, d’autant plus que ses deux autres frères sont aussi très performants. J’accompagne Nicolas essentiellement sur l’aspect logistique et commercial. Au travers de ses projets et réalisations, il est comme nous tous : auteur de sa vie. Celle-ci s’annonce radieuse et comme le disait mon père : « Le travail paie toujours, il faut se donner les moyens de réussir ! ».

Nicolas est un garçon sensible, déterminé, rigoureux et travailleur. Très investi dans ses différents projets, parfois même trop perfectionniste. Il a beaucoup d’imagination et une vraie curiosité intellectuelle. Il a déjà une grande maturité, des valeurs affirmées, de l’écoute, et une grande profondeur humaine.

Le grand frère : Lukas Debelvalet, 21 ans.

Je viens de terminer mes trois années de classes préparatoires aux grandes écoles, section A /L, spécialité « Lettres Classiques » au lycée Faidherbe de Lille. Je suis en attente des résultats d’admission de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon et est inscrit en Master Recherche des Mondes Anciens à l’Université de Lille III. Par la suite, j’envisage de passer l’agrégation de Lettres Classiques ainsi qu’un Doctorat pour devenir enseignant-chercheur. J’écris également dans mes rares moments de loisirs. Je suis plutôt porté vers l’Héroïc Fantasy .

Nicolas est posé, à l’écoute, travailleur. Il pense beaucoup aux autres, parfois trop peut-être. Il est perfectionniste. Je ressens de la fierté bien-sûr. Il a réalisé si jeune ce que beaucoup cherchent encore à faire. Malgré mes études fort prenantes, je suis activement ses réussites, que ce soit en par téléphone, ou en suivant ses messages sur les réseaux sociaux. P.S : c’est déjà un professionnel de la communication.

La fratrie 

Roman, Nicolas et Lukas

Le petit frère : Roman Debelvalet, 12 ans.

Je suis actuellement en classe de cinquième au collège de Berck-sur-mer.Je fais partie du club « Théâtre » du collège. L’année prochaine, en plus de l’option « Langues anciennes », je vais suivre la section européenne «  Langue et Culture anglaises ».

J’aime bien les sports de glisse, la trottinette « free-style », les jeux vidéo, le vtt, la lecture. Je suis ceinture marron de karaté Shotokan et prépare cette année mon passage à la ceinture noire, 1er DAN. J’aime aussi écrire de petites histoires et jouer sur scène.

Nicolas aime écrire comme Lukas et moi. Il est très calme et s’occupe beaucoup des autres. On aime bien échanger autour de nos histoires. Je suis fier de lui et j’aime bien lui faire de la publicité lorsque l’on va dans les salons. Je le suis sur Instagram.

Nicolas Debelvalet

Il est toujours compliqué de se décrire soi-même : On ne sait pas précisément qui on est, on ignore comment les autres nous perçoivent véritablement. En revanche, on sait qui on veut être, et comment on veut être décrit. Je pense que je suis un rêveur qui ne trouve son idéal que dans la création. Si le monde nous déplaît, alors changeons-le à notre façon !

J’essaie d’être toujours souriant, toujours optimiste, quitte à parfois forcer la bonne humeur.

Une qualité : l’Empathie Un roman : Hunger Games Un élément : l’Air

Les « années Covid » ont été pour nous tous, je crois, une période de souffrance, d’incertitude et de peur. Nous ne comprenions pas ce virus qui s’était abattu sur nous. Pourtant, je crois que les adultes et les enfants ont entretenu un rapport très différent avec lui. Le Covid nous a « vus grandir », dans la mesure où nous le découvrions en même temps que nous apprenions à nous connaître. Les doutes de l’adolescence se sont ainsi mêlés à ceux de la pandémie.

Cela dit, je ne dirai pas qu’il m’a « malmené » et je ne pense pas non plus avoir « imaginé le pire » dans Croque-Z. Mon livre entretient en effet une atmosphère très légère et décalée pour rappeler que nous n’étions que des enfants. Nous avons vu le virus avec des yeux innocents, et le regard que nous lui portions était sans doute très éloigné de celui des adultes. Nous n’en comprenions pas tous les enjeux : peu de choses étaient claires dans nos têtes, on avait été confinés pour échapper au virus comme si nous jouions à « cache-cache ».

J’ai toujours beaucoup apprécié découvrir des univers fantastiques imaginés par de brillants écrivains ou réalisateurs. Je prévois de sortir deux livres l’année prochaine:  un polar autour de la nouvelle qui m’a fait remporter le premier prix de la nouvelle policière cette année au salon du polar de Berck sur mer et un roman pour lequel je ne donnerai volontairement pas plus de détails....

Je voudrais ensuite poursuivre mes études dans une classe préparatoire littéraire, idéalement au lycée Faidherbe à Lille ( comme ma mère et mon frère avant moi ). J’espère ensuite passer l’agrégation, voire le doctorat, pour enseigner et pouvoir poursuivre l’écriture à côté.